Mercredi 26 septembre

Lecture: Apocalypse 20

Le fait que les sept Eglises dans Apocalypse soient si originales n’est pas une bonne chose ; on ne voit pas de gloire dans le fait que chacune a sa propre caractéristique.

Les quatre êtres vivants suivent tous la direction de l’Esprit, sans que nous ayons besoin d’un Vatican ou d’un pape. Au-dessus d’eux, il y a un trône, mais qui y siège ? Toi ? Non, c’est le Seigneur qui est assis sur le trône. Si nous ne faisons pas attention aux autres Eglises, l’Eglise dans notre localité va en fin de compte traverser beaucoup de souffrances. Le Seigneur vomit l’Eglise à Laodicée, il combat l’Eglise à Thyatire, le chandelier à Ephèse est ôté et l’Eglise à Sardes est morte.

Par contre, quelle harmonie dans le déplacement des quatre êtres vivants ! Si l’Eglise à Stuttgart se mettait à critiquer les frères et sœurs de Fountain Valley, que l’Eglise à Fountain Valley commençait à critiquer l’Eglise à Berlin, laquelle pointerait du doigt l’Eglise à Hambourg, ce serait étrange et terrible. A la fin, les Eglises seraient en concurrence les unes avec les autres. Ne nous mettons pas en colère si les Eglises trouvent bizarre ce que nous faisons, car ce n’est pas bon signe pour nous. Plutôt que de nous en offusquer, nous devons plutôt aller devant le Seigneur : « Brille, Seigneur ! Donne-nous ta lumière. Nous sommes prêts à changer, à nous repentir. »

Il est merveilleux que les êtres vivants aillent toujours droits devant eux ! Il n’est pas nécessaire non plus qu’ils se retournent, puisque de tous les côtés, on voit toujours une face d’homme. Nous avons beaucoup à apprendre de cette vision !