Jeudi 27 septembre

Lecture: Apocalypse 21

L’apparence des quatre êtres vivants :
des charbons de feu ardents

« L'aspect de ces animaux ressemblait à des charbons de feu ardents, c'était comme l'aspect des flambeaux, et ce feu circulait entre les animaux; il jetait une lumière éclatante, et il en sortait des éclairs » (Ez. 1:13). Combien de degrés avez-vous dans votre ville, à Stuttgart, à Reutlingen, à Berlin ? Deux degrés, dix-huit degrés ? C’est trop froid, c’est tiède tout au plus. Avez-vous des charbons ardents ? Y a-t-il quelque chose qui brûle à Neuchâtel ?

Il faut que la température augmente, mais pas à l’aide d’un feu étranger. Cela doit être un feu saint que le Seigneur allume. Cela ne doit pas venir d’une contrainte exercée par des hommes. Nous ne soutenons pas non plus une œuvre humaine et nous ne rassemblons pas des fonds. Nous n’avons pas besoin de cela, nous avons plutôt besoin de brûler.

Les quatre êtres vivants ressemblent à des flambeaux. C’est un feu saint et pur. C’est l’Esprit, les sept Esprits de Dieu qui brûlent comme des flambeaux devant le trône et qui sont envoyés par toute la terre. Si l’Esprit nous remplit, alors nous serons réellement brûlants. Nous ne pouvons pas dire que nous sommes remplis de l’Esprit si nous sommes comme de la glace, ou seulement tièdes. Le moteur d’une voiture devient froid seulement si celle-ci ne roule pas ; si l’Eglise est froide, cela signifie qu’elle n’avance pas.

Les quatre êtres vivants courent comme la foudre

Est-il dit : « Les quatre êtres vivants se promenaient tranquillement çà et là » ? « Et les animaux couraient et revenaient (ou : en zigzag) comme la foudre » (Ez. 1:14). Où a donc passé ce déplacement comme la foudre dans l’Eglise ? Sommes-nous devenus vieux, au point que nous ne nous déplaçons plus que très lentement ? C’est sans doute en partie le cas, et ce n’est pas une bonne chose, car ce n’est pas le modèle des quatre êtres vivants. Une telle image est vraiment parlante. Cette vision doit redevenir notre standard. Le Seigneur a encore tant à faire, et le temps est devenu si court ! Combien de temps nous reste-t-il pour achever son œuvre ? Nous sommes si lents, nous nous promenons en calèche, au lieu de nous déplacer comme la foudre.

Que le Seigneur soit avec votre esprit ! Considérons cette parole !