Jeudi 01 novembre

Lecture: Psaume 34

Dans le déplacement de la gloire de Dieu retentit la voix du Tout-Puissant. Nous apprenons tous, dans la maison de Dieu, à entendre la voix du Seigneur. Notre tête à tous est trop petite pour saisir les choses de Dieu. Elle est parfois si dure, rebelle et désobéissante, et nous ne voulons pas entendre ce que l’Esprit dit.

Le jugement de l’idolâtrie du peuple

Du chapitre 3 au chapitre 24 d’Ezéchiel, nous voyons sans avoir besoin de grandes explications la rébellion du peuple d’Israël, leur cœur dur comme de la pierre à l’égard de Dieu, toutes les actions corrompues qu’ils ont commises jusque dans le temple de Dieu. Ils n’ont eu aucune crainte de Dieu, mais ils ont méprisé le Seigneur. Le père d’Ezéchiel s’appelle Buzi, ce qui signifie « mépriser ». Fondamentalement, c’est le problème du peuple d’Israël : ils ont méprisé le Seigneur.

Comme Ezéchiel n’était peut-être pas totalement convaincu et se demandait pourquoi Dieu les avait châtiés aussi sévèrement, Dieu a dû lui montrer ce que faisait le peuple. Dieu fait à son peuple le reproche suivant dans Esaïe : « Tu avais confiance dans ta méchanceté, tu disais: Personne ne me voit! » (Es. 47:10). Notre Dieu est-il aveugle ? Pensez-vous qu’il ne voit pas toutes choses ? Nous avons vu qu’il a beaucoup d’yeux, et que ces yeux sont des flammes de feu. Ne pensons pas que nous pouvons faire quelque chose en secret et qu’il ne le voit pas ; Dieu voit tout. Il a très bien vu ce que les anciens du peuple, les sacrificateurs, et finalement même le peuple entier avaient fait. En fin de compte, la gloire du Seigneur a dû abandonner sa maison, le temple.