Mercredi 26 février

Lecture: Proverbes 24

L’importance de la nourriture spirituelle et du breuvage spirituel dans l’Ecriture

C’est seulement en nous nourrissant des fruits du bon pays et en buvant aux sources d’eau vive que nous nous approprions l’abondance du bon pays. Si nous ne faisons que contempler toutes les richesses que nous venons d’énumérer, nous ne profiterons pas du tout du bon pays. Dieu désire nous faire comprendre qu’il nous a donné son Christ pour notre vie. Pour Dieu, le point capital, c’est la vie : « Tu me feras connaître le sentier de la vie » (Ps. 16 :11).

Dans l’Eglise, nous ne nous satisfaisons pas de la connaissance intellectuelle. Si quelqu’un vient dans l’Eglise pour ne recevoir que des enseignements, il n’est pas au bon endroit. Nous voulons goûter les richesses insondables de Christ. La Bible est un livre de vie, car elle parle de manger et de boire. Immédiatement après avoir créé Adam, Dieu le plaça dans le jardin d’Eden et le premier ordre qu’il lui a donné était : « Tu mangeras ! » (Gen. 2 :16 Darby) – en particulier du fruit de l’arbre de vie. Il est regrettable que beaucoup de chrétiens tiennent la connaissance biblique en plus haute estime que la vie. Nous devrions cependant retourner au manger et au boire, car c’est pour cela que Dieu nous a donné le bon pays comme notre héritage. Sinon, à quoi bon tous ces courants d’eau ?