Éditions «Le Fleuve de vie»
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Mardi 03 février

Lecture: Marc 6


Les choses spirituelles sont vivantes et doivent parvenir à maturité

Les choses spirituelles étant vivantes, elles doivent être protégées et soignées afin de ne pas mourir et d’être ainsi perdues. Elles ne doivent pas seulement être soignées mais aussi être conduites à maturité, à leur accomplissement. Le Seigneur dit à l’Eglise à Sardes: “Affermis le reste qui est près de mourir... Je n’ai pas trouvé tes œuvres parfaites devant mon Dieu“ (Apoc. 3:2). Le Seigneur n’avait rien trouvé, auprès de cette Eglise, qui soit parfait devant Dieu. Cela signifie que les choses qu’ils avaient reçues n’avaient pas été conduites à leur accomplissement. Bien plus, elles étaient sur le point de mourir, faute de soins.

Nous devons continuer à célébrer les fêtes du Seigneur pour que tout ce que le Seigneur nous a donné ne soit pas simplement maintenu vivant, mais parvienne aussi à son accomplissement. Si nous ne veillons pas, nous perdrons cela. Le Seigneur dit aussi: “A celui qui n’a pas, on ôtera même ce qu’il a“ (Mat. 25:29).

Sept semaines entières après la fête des prémices

Les quatre premières fêtes du Seigneur forment un groupe. Elles montrent l’œuvre du Seigneur dans son ministère terrestre. La fête des semaines est célébrée sept semaines après la résurrection du Seigneur – la fête des prémices. Pourquoi fallait-il encore sept semaines? Nous savons, d’après le récit du Nouveau Testament, que le Seigneur est encore demeuré quarante jours sur terre après sa résurrection, avant de monter aux cieux en ascension. Dix jours après son ascension, au cinquantième jour, il a alors répandu le Saint-Esprit.

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