Lundi 22 mai

Lecture: Esaïe 52; Jean 6

Auparavant, quand nous parlions de consécration, nous pensions que nous pouvions nous offrir nous-mêmes au Seigneur sur l’autel - mais le Père ne veut pas d’une telle offrande, car elle est impure ! Seule l’offrande de notre Seigneur Jésus-Christ est d’une bonne odeur agréable au Père. C’est avec un cœur lourd et triste que j’évoque cela, car nous parlons des offrandes depuis bien des années déjà ! Maintenant, le temps est venu que soyons diligents pour nous en occuper. C’est vraiment important ! Dans ses Epîtres, Paul mentionne les richesses insondables de Christ (Eph. 3:8). « Pour moi vivre, c’est Christ » est une proclamation magnifique, mais comment dois-je vivre Christ ? J’ai besoin d’aide pour saisir cela. Ce n’est pas spontané pour nous de savoir de quelle manière nous devons expérimenter Christ. Je sais bien sûr qu’il est insondablement riche, mais montrez-moi comment parvenir à cette richesse ! C’est pour cela que durant des années, nous nous sommes appliqués à parler des richesses insondables de Christ. Maintenant, nous devons entrer de plus en plus dans la réalité de tout cela. Nous apprenons à présenter Christ au Père comme son aliment le plus saint (Nomb. 28:2), d’une manière spécifique. Il ne s’agit pas simplement d’effectuer des services tels que cuisiner pour les frères et sœurs, faire des nettoyages, ou s’occuper des réunions pour les enfants. Ces services sont aussi utiles, mais ils ne jouent qu’un rôle secondaire. La priorité, c’est le service sacerdotal, qui a dans la Parole une place privilégiée, très élevée ; en effet, les sacrificateurs sont destinés prioritairement à satisfaire le Père et à accomplir son dessein.