Vendredi 11 août

Lecture: Ezéchiel 10 ; 2 Corinthiens 6

L’offrande de fleur de farine

Christ est aussi notre offrande de fleur de farine, qui nous parle de la merveilleuse humanité si fine et si pure du Seigneur Jésus : quel homme saint, merveilleux, parfait et pur ! En lui, il n’y a pas de levain ; il n’a commis aucun péché et il n’y avait pas de péché en lui. Quel homme merveilleux ! L’humanité de Jésus est notre offrande de fleur de farine. En tant que sacrificateurs, nous devons apprendre à manger cette nourriture. De quel pain de vie nous nous réjouissons aujourd’hui !

La première des fêtes de l’Eternel, la Pâque, est aussi le premier jour de la fête des pains sans levain. Quand nous mangeons la Pâque, nous commençons par manger l’agneau le premier jour, mais les pains sans levain doivent être mangés durant toute la semaine. En même temps que nous mangeons les pains sans levain, nous devons être prêts à éliminer tout levain, car nous ne pouvons pas célébrer cette fête si nous ne sommes pas prêts à ôter le levain qui est en nous (les péchés cachés, la chair, le moi, les anciennes habitudes, tout ce qui est déchu en nous). Cela nécessite beaucoup de lumière pour exposer tout le levain qui reste en nous. Paul a dit aux Corinthiens qu’ils se glorifiaient à tort, parce qu’ils toléraient le levain dans l’Eglise ; et il les a exhortés à connaître Christ comme leur Pâque, à célébrer la fête avec les pains sans levain de la pureté et de la vérité (1 Cor. 5:6-8). Comment serait-il possible que nous célébrions la fête des pains sans levain et que nous n’ayons aucune sensibilité à l’égard du levain qui est en nous ? Comment célébrons-nous cette fête : avec ou sans levain ? Etes-vous prêts à éliminer tout levain, le levain de la méchanceté et de la malice ? Il est sain d’avoir part à un tel pain sans levain à la Table du Seigneur, pour avoir la vie et la force d’ôter tout levain en nous.