Dimanche 01 juillet

Lecture: Josué 16; Jacques 1

Craindre Dieu et non les hommes

La teigne ne détruit pas très rapidement. Quand de tels champignons ou des mites attaquent un vêtement, au début on ne voit rien, mais peu à peu le vêtement entier est dévoré et s’effrite. Le jugement du Seigneur prend parfois du temps, car il veut donner encore l’occasion de se repentir. Mais si nous n’usons pas de cette grâce, à la fin, il doit tout juger. Souvent, nous ne voyons même pas que nous encourons un jugement, et pensons que nous allons très bien.

Chaque fois que le Seigneur parle, cela produit une séparation ; c’est l’œuvre du Serviteur. « Quiconque parmi vous craint l’Eternel, qu’il écoute la voix de son serviteur ! Quiconque marche dans l’obscurité et manque de lumière, qu’il se confie dans le nom de l’Eternel, et qu’il s’appuie sur son Dieu ! » (Es. 50:10). La question ici, c’est de savoir si nous craignons le Seigneur ou non. Beaucoup de croyants disent qu’ils aiment le Seigneur, mais le craignent-ils ? La crainte du Seigneur est le commencement de la sagesse. Si nous ne craignons pas le Seigneur, nous ne lui obéissons pas non plus et nous ne l’écoutons pas. C’est pourquoi au chapitre 11, l’Esprit du Seigneur qui reposait sur le Seigneur Jésus est décrit comme l’Esprit de crainte de l’Eternel, et c’est ce que Dieu aime. Nous ne savons souvent pas tellement apprécier cela ; mais dès aujourd’hui, nous voulons apprendre à connaître cette saine crainte, qui nous garde de beaucoup de fautes.