Vendredi 26 juillet

Lecture: Psaume 115; Jean 20

Le repos du sabbat est très important pour Dieu, et il veille à ce que l’homme le respecte rigoureusement. Dans l’Ancien Testament, celui qui travaillait le jour du sabbat devait être lapidé. Cette sévérité peut étonner mais chaque fois que nous contrevenons au repos du sabbat, nous créons des problèmes. Dieu a déjà achevé son œuvre, mais nous, nous travaillons encore. Il nous faut apprendre à entrer dans le repos du Seigneur et à nous réjouir de lui en tant que notre sabbat. Comme il s’agit de l’œuvre personnelle du Seigneur et que c’est lui qui veut l’exécuter, le sabbat fait aussi partie de son œuvre.

Christ, notre sabbat

Comme la Bible nous le montre, le sabbat n’est qu’une ombre de Christ qui en est la réalité : « Que personne donc ne vous juge au sujet du manger ou du boire, ou au sujet d’une fête, d’une nouvelle lune, ou des sabbats : c’était l’ombre des choses à venir, mais le corps est en Christ » (Col. 2:16-17). Les Israélites du temps de Jésus vivaient sous la loi et avaient beaucoup de peine à respecter toutes les ordonnances et prescriptions. Les pharisiens ne les aidaient pas ; au contraire, ils les chargeaient d’un fardeau plus lourd encore avec leurs ordonnances humaines, comme si la loi de Dieu n’était pas déjà assez difficile à observer. En fin de compte, l’homme ne trouvait plus de repos. Les Israélites avaient la volonté de faire l’œuvre de Dieu et de suivre la loi de Dieu. Ils voulaient être justifiés par les œuvres de la loi et plaire à Dieu. C’était extrêmement pénible.