Dans cette époque de l'aboutissement du plan de Dieu, nous ressentons particulièrement la résistance de l'ennemi et du monde. Nous plaignons-nous auprès du Seigneur, ou sommes-nous indifférents et nous résignons-nous à accepter les choses telles qu'elles sont? « Sois attentif à mes cris! Car je suis bien malheureux. Délivre-moi de ceux qui me poursuivent! Car ils sont plus forts que moi. Tire mon âme de sa prison, afin que je célèbre ton nom! Les justes viendront m'entourer, quand tu m'auras fait du bien » (v. 7-8). Nous voyons que sur le chemin de l'éternité sur lequel nous voulons marcher avant que le Seigneur revienne, nous devons continuer à combattre et ne pas cesser de veiller. Certainement pas avec notre propre force, mais crions au Dieu vivant; il peut nous sauver et nous mener au but. Alléluia pour la louange, mais aussi pour la plainte! Si nous nous contentons de louer le Seigneur et que nous ne nous plaignons pas devant le Seigneur, ce n'est pas suffisant. C'est nécessaire, nous ne pouvons pas nous contenter d'une seule des deux expériences. Il ne suffit pas de louer le Seigneur; il faut aussi se plaindre par rapport à l’œuvre de l’ennemi. Plus le fardeau du Seigneur nous imprègne, plus nous expérimentons devant chaque situation que nous n’avons pas d'autre choix que de crier au Dieu vivant.