D’une part, la vie de l’Eglise est glorieuse et pleine de joie ; d’autre part, nous devons être prêts à être martelés par le Seigneur. Il utilise notre environnement, parfois des malentendus entre les frères et sœurs, diverses circonstances, des souffrances. Nous avons traversé un certain nombre de difficultés parfois très difficiles au cours de toutes ces années. Toutes ces circonstances nous ont enseigné de très importantes leçons pour aller de l’avant dans la vie de l’Eglise. Sur le moment, les coups de marteau n’étaient évidemment pas agréables, mais rétrospectivement nous devons rendre grâces au Seigneur, sans racines d’amertume dans notre cœur. Tout ce qui est arrivé sert à l’édification de l’Eglise. Pour que le martèlement serve à quelque chose, il faut bien sûr que nous ayons de l’or ! Si vous achetez de l’or, attendez-vous à ce que le Seigneur œuvre aussi en vous de cette manière. C’est par beaucoup de souffrances qu’il nous faut parvenir à la perfection, comme le Seigneur lui-même. Il y a beaucoup de joie dans la vie de l’Eglise, mais soyez aussi armés de la pensée de souffrir. Le Seigneur nous a laissé des traces dans lesquelles nous devons marcher. Il n’y a pas d’autre chemin pour parvenir à la gloire que ce travail du Seigneur en nous.