Jeudi 15 juillet

Lecture: 2 Chroniques 14; Matthieu 25

Nous avons besoin de cette expression de la vie dans l’Eglise. Nous devons nous aider les uns les autres, guérir les plaies, faire de notre mieux pour voir comment nous pouvons nous transmettre la vie pour être édifiés. Ce n’est pas si facile, si nous n’avons pas la vie. C’est pour cela que le Seigneur insiste sur l’importance de notre premier amour. Ce qui compte en premier pour lui, ce ne sont pas nos œuvres et la connaissance, même si nous pouvons avoir ces choses. Ce qui compte pour le Seigneur, c’est notre premier, notre meilleur amour pour lui. Cela bâtit l’Eglise, et c’est le chemin le plus court vers la maturité, pour que le Seigneur revienne. Paul a dit : « Et je vais encore vous montrer une voie par excellence » (1 Cor. 12:31), autrement dit le chemin le plus court, le plus efficace, le meilleur pour atteindre le but.

L’arbre de la vie et le premier amour

A l’Eglise à Ephèse, le Seigneur a montré que le premier amour et l’arbre de la vie vont ensemble. Celui qui a abandonné son premier amour a aussi perdu l’appréciation pour l’arbre de la vie. Quand nous mangeons de l’arbre de vie, il est impossible que nous n’aimions pas le Seigneur. Quand Adam et Eve ont mangé de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, ils se sont cachés devant Dieu ; s’ils avaient mangé de l’arbre de vie, ils auraient plutôt couru à sa rencontre. Quand le Seigneur dit à l’Eglise à Ephèse qu’elle doit se repentir et qu’il lui donnera à manger de l’arbre de la vie, cela veut dire qu’ils avaient justement commencé à manger du mauvais arbre.

Si nous aimons le Seigneur de notre meilleur amour, nous aimerons aussi tous les saints, pas par notre propre amour, mais par celui du Seigneur. Si nous avons cet amour, personne ne peut nous diviser. Alors, aucun problème ne restera insoluble dans l’Eglise.