Mardi 27 juillet

Lecture: 2 Chroniques 26; Marc 9

Connaître le Véritable

A l’Eglise à Philadelphie le Seigneur n’a que de bonnes choses à dire. « Le Saint et le Véritable » : ce nom ne signifie pas simplement que Dieu ne ment pas, qu’il est sincère et franc, mais qu’il est la réalité de la sainteté. Dans ce monde, il existe beaucoup de choses qui ne sont pas véritables ; le Seigneur au contraire a dit : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie » (Jean 14:6). Quand le Seigneur dit : « Je suis la vérité », il entend par là qu’il est la réalité de tout ce qui nous est montré dans l’Ancien Testament. Sans lui, nous n’aurions que des sacrifices d’agneaux et de bœufs. Un tel holocauste n’est pas la réalité. Mais Christ est notre véritable holocauste. Au lieu de revêtir une peau de bœuf, nous revêtons Jésus-Christ ! Ce nom signifie que tout ce que l’Eglise à Philadelphie avait était réel ; c’était la réalité, à l’opposé de l’Eglise à Laodicée, où ils n’avaient que les enseignements et pensaient être riches, et à qui le Seigneur a dû dire : « Non, vous êtes pauvres ; venez donc pour acheter de moi de l’or ! » L’Eglise à Philadelphie connaissait le Véritable. Tout chez elle était réel.

Le Seigneur veut nous en donner la réalité. Si nous voulons aussi en posséder la réalité, il nous faut alors venir au Seigneur et acheter de lui de l’or. Si le Seigneur nous donne une révélation, par exemple au sujet de la sanctification, l’importance de se séparer du monde, venons à lui : « Tu es le Seul qui puisse vraiment accomplir cela ; je veux expérimenter cela par toi et en toi.  Beaucoup connaissent la vérité au sujet du terrain de l’unité, mais avoir cette connaissance et posséder la réalité de l’unité sont deux choses différentes. Nous avons besoin de la réalité de l’unité. L’Eglise à Philadelphie connaissait vraiment le Véritable.