Mercredi 07 juillet

Lecture: 2 Chroniques 6; Matthieu 17

Un caillou blanc avec un nom nouveau écrit dessus

« Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Eglises: A celui qui vaincra je donnerai de la manne cachée, et je lui donnerai un caillou blanc; et sur ce caillou est écrit un nom nouveau, que personne ne connaît, si ce n'est celui qui le reçoit » (Apoc. 2:17). Quel est ce caillou blanc ? C’est certainement un mystère. Il existe diverses interprétations à ce sujet et certaines s’appuient sur des connaissances historiques et des coutumes de l’Antiquité. Le caillou blanc est certainement reliée aux douze pierres précieuses du pectoral, cette partie du vêtement du souverain sacrificateur qui contient l’urim et le thummim. Urim signifie lumière (ou révélation selon la traduction grecque dite des Septante) et thummim signifie perfection (ou vérité selon la version des Septante). C’était par l’urim et le thummim que le Seigneur parlait aux sacrificateurs chaque fois qu’ils avaient une question à élucider pour juger une affaire parmi le peuple, ou pour savoir s’ils devaient monter à la guerre ou pas.

Par ailleurs, le mot « blanc » en grec ne désigne pas seulement la couleur blanche, mais aussi la lumière ; ce caillou blanc est une pierre qui brille. Un seul connaît le nom nouveau qui est écrit dessus : celui qui le reçoit.