Cette lumière n’est autre que la Parole incarnée, c’est-à-dire le Seigneur lui-même et sa vie humaine merveilleuse. Tous les quatre Evangiles nous montrent qu’avec Jésus, c’est la lumière qui est venue sur cette terre. Le Christ incarné est la lumière du monde. « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu… En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes. La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue… Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme » (Jean 1:1, 4-5, 9).
« Jésus leur parla de nouveau, et dit : Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie » (Jean 8:12). « Pendant que je suis dans le monde, je suis la lumière du monde » (Jean 9:5). Nous avons tous besoin de cette merveilleuse lumière. Relisons les quatre Evangiles pour y voir le Seigneur en tant que lumière. La vie humaine du Seigneur nous éclairera. Tout ce qui n’est pas en ordre dans nos vies sera exposé. Sans cet homme Jésus-Christ, nous ne saurions même pas ce qui est juste et ce qui est faux. La vie humaine de Jésus sur cette terre est donc la lumière du monde : « Il quitta Nazareth, et vint demeurer à Capernaüm, située près de la mer dans le territoire de Zabulon et de Nephthali, afin que s’accomplisse ce qui avait été annoncé par Esaïe, le prophète : Le peuple de Zabulon et de Nephthali, de la contrée voisine de la mer, du pays au-delà du Jourdain, et de la Galilée des païens, ce peuple, assis dans les ténèbres, a vu une grande lumière ; et sur ceux qui étaient assis dans la région et l’ombre de la mort la lumière s’est levée » (Mat. 4:13-16). Le Seigneur lui-même est cette merveilleuse lumière. Partout où il allait, il était la lumière du monde (Héb. 1:3).