« Quel autre ai-je au ciel que toi ? Et sur la terre je ne prends plaisir qu’en toi »
(Psaumes 73 : 25)
Notre complet abandon au Seigneur dépend souvent d’une chose en particulier, et Dieu attend justement que nous lui consacrions cette chose-là; il doit l’avoir, car il veut que nous lui appartenions tout entiers. J’ai été très impressionné par un écrit qu’un grand leader national a écrit dans son autobiographie : « Je ne veux rien pour moi, je veux tout pour mon pays ». Si un homme peut souhaiter que son pays ait tout et lui rien, ne pouvons-nous pas dire à notre Dieu : « Seigneur, je ne désire rien pour moi-même ; je veux tout pour toi. Je serai ce que tu veux de moi, et je ne désire rien avoir en dehors de ta volonté » ? Ce n’est qu’au moment où nous prenons la place d’un serviteur qu’il peut occuper sa place de Seigneur. Il ne nous appelle pas à œuvrer pour sa cause ; il nous demande d’obéir inconditionnellement à sa volonté