« Je serai pour elle, dit l’Eternel, une muraille de feu tout autour »
(Zacharie 2 : 5)
Quand Jean décrit la grande ville de Dieu dans l’Apocalypse, il commence par la muraille, car c’est elle qui circonscrit tout ce qui lui appartient. Les murailles suggèrent la sécurité et la force. Elles marquent aussi la séparation. D’ailleurs les chrétiens portent une marque distinctive par leur séparation d’avec un monde dont ils ont été délivrés. Satan déteste que les limites soient aussi bien définies (il préfère nettement qu’il y ait des murs de séparation entre les saints !) A l’époque d’Esdras, comme plus tard au temps de Néhémie, ce fut la reconstruction des murs de Jérusalem qui provoqua une violente hostilité. Quel réconfort que le Seigneur en personne dise : « Je serai pour elle une muraille » !