Mercredi 11 septembre

Lecture: Psaumes 120; 1 Corinthiens 7

Cantique des degrés. Dans ma détresse, c'est à l'Eternel que je crie, et il m'exauce »
(Psaume 120 :1)

Etre sauvés de la lèvre mensongère et de ceux qui haïssent la paix

Le Psaume 120 est le premier des Cantiques des degrés. Il nous révèle comment agit l'ennemi. Déjà au début, dans le jardin d'Eden, le serpent a utilisé le mensonge. Et aujourd'hui toute l'humanité est trompée par Satan et vit dans le mensonge. Les gens croient plus volontiers au mensonge qu'au Dieu vivant. Satan est le père du mensonge. Nous devons apprendre à aimer la vérité. Quand Jésus était sur terre, il a eu beaucoup de problèmes avec les enseignants, les scribes, les pharisiens, les sacrificateurs et les gens religieux, qui ne se sont approchés de lui qu'avec le mensonge. Pour le condamner, ils ont dû avoir recours au mensonge parce qu'ils ne trouvaient pas de faute en lui.

Dans ce Psaume, le Seigneur nous montre que l'ennemi tente par tous les moyens de nous retenir, de nous empêcher d'avancer. Sa première arme est le mensonge. En lisant les Epîtres de Paul, on voit combien le combat du diable contre la vérité était terrible. Dès le début, les mensonges de l'ennemi ont eu pour but d'entraîner l'homme loin de la vérité et de le détruire.

Au verset 5 de ce Psaume il est dit: « Malheureux que je suis de séjourner à Méschec, d'habiter parmi les tentes de Kédar! ». Méschec signifie « les sauvages, les barbares ». Kédar signifie « sombre ». Nous avons tous un côté obscur, si nous ne demeurons pas dans la lumière, non seulement nous répandons le mensonge, mais nous croyons au mensonge. Qui porte la plus grande responsabilité: celui qui répand le mensonge ou ceux qui croient au mensonge ?