Il ne suffit pas de recevoir la correction en silence, mais il faut l’aimer ; c’est ainsi que nous acquérons la sagesse, la connaissance de Dieu. Lorsqu’on est repris ou corrigé – et souvent le Seigneur utilise des personnes pour le faire – si on se sent offensé, c’est une preuve qu’on est orgueilleux et pas prêt à acquérir la sagesse. En revanche, si on accepte la réprimande du Seigneur, on obtiendra aussi sa faveur (v. 2).
« Une femme vertueuse est la couronne de son mari » (v. 4). Une sœur qui recherche humblement la sagesse du Seigneur va permettre à son mari de bien exercer sa fonction; en revanche, si elle n’est pas vertueuse, elle lui fera honte et sera comme la carie (un cancer) dans ses os, le rendant sans force (v. 4).
« Tel, qui parle légèrement, blesse comme un glaive ; mais la langue des sages apporte la guérison » (v. 18). La langue peut blesser et même tuer ou apporter la guérison et la vie !
« Aucun malheur n’arrive au juste » (v. 21). C’est une des plus précieuses promesses qui correspond à Romains 8 :28. Nous pouvons avoir l’assurance que Dieu fait concourir tout ce qui nous arrive à notre bien, si nous l’aimons et vivons pour son dessein.
« L’inquiétude dans le cœur de l’homme l’abat, mais une bonne parole le réjouit » (v. 25). Au lieu de se laisser abattre par l’inquiétude, nous pouvons décharger tous nos soucis sur le Seigneur et serrer sa parole dans notre cœur, ce qui nous apportera la vraie joie ! Ne nous bornons pas à lire la Parole comme le paresseux « qui ne rôtit pas son gibier » (v. 27).