Dimanche 17 novembre

Lecture: Ecclésiaste 6 ; Hébreux 3

« Tout le travail de l’homme est pour sa bouche,
et cependant ses désirs ne sont jamais satisfaits…
Pendant le nombre des jours de sa vie de vanité
qu’il passe comme une ombre »
(Ecclésiaste 6 :7, 12)

Même si l’homme a la chance d’avoir des richesses, des biens et de la gloire, en fin de compte, c’est quelqu’un d’autre qui en profitera. C’est là une vanité (v. 1-2). S’il ne connaît pas Dieu, sa vie est vaine et il s’en va dans les ténèbres (v. 3-6).

« Tout le travail de l’homme est pour sa bouche, et cependant ses désirs ne sont jamais satisfaits » (v. 7). « Ce que les yeux voient est préférable à l’agitation des désirs » (v. 9). Il est plus sage d’être reconnaissant de ce qu’on voit et d’apprécier ce qu’on a, plutôt que de suivre le mouvement des désirs, source de frustrations constantes ! Et souvent, on a affaire à plus fort que soi avec lequel on ne peut ni dialoguer ni contester. Si on n’a pas découvert l’Evangile, on reste sans réponse devant la question : « Quel avantage en revient-il à l’homme ? » (v. 11).

L’homme ne sait pas ce qui est bon pour lui, pendant le nombre des jours de sa vie de vanité qu’il passe comme une ombre et aucun voyant ni astrologue ne peut lui faire connaître l’avenir (v. 12). En revanche, nous savons ce qui est bon pour notre vie : connaître et gagner le Seigneur. Et nous savons quel glorieux avenir Dieu nous a préparé : la manifestation du royaume sur terre. Puisque notre vie est courte et semblable à une ombre, ne nous conduisons pas comme des insensés, mais comme des sages ; rachetons le temps, en étant remplis de l’Esprit, rendant continuellement grâces pour toutes choses (Eph. 5 :15-21).