Jeudi 30 août

Lecture: 1 Jean 1

19. Expérimenter la puissance de Dieu dans les Eglises

Mon fardeau est que vous voyiez la puissance et la grandeur du Dieu tout-puissant. Pour notre Dieu, rien n’est impossible. Pensez-vous que la puissance des ténèbres, l’ennemi, votre moi et la chair soient plus grands que Dieu ? Quel problème est plus grand que Dieu ? Nous pouvons expérimenter de grandes choses. Ne pensez pas que Dieu ne puisse rien faire. Au contraire, quand il agit, tout est renversé.

Nous avons besoin de ce vent impétueux dans toutes les Eglises. En Europe, il vous faut expérimenter à nouveau cet ouragan. Il doit être plus fort aujourd’hui qu’il ne l’était autrefois. En Suisse, en Roumanie, en Pologne, en Espagne, en Italie, en France, dites au Seigneur : « Lève-toi ! Viens comme un vent impétueux. » Au début, c’est peut-être une petite tornade, mais cela doit devenir un vent impétueux. Notre Dieu est grand et puissant ; c’est nous qui le limitons par notre incrédulité. Disons au Seigneur : « Où est cette tornade ? Ne tourbillonnes-tu plus ? Es-tu parti en promenade ? » Je crois que si le Seigneur trouve de nombreux Ezéchiel aujourd’hui, s’il y en a en Espagne, alors ce tourbillon va venir. Ce n’est pas une plaisanterie, c’est nécessaire aujourd’hui. Sinon, nous disons que nous sommes l’Eglise, mais rien ne se passe. Vous représentez-vous un ouragan qui se déplace millimètre par millimètre ? Le Seigneur veut se déplacer, mais nous le limitons, et nous prétendons être son Eglise ! C’est triste. Nous devons nous repentir devant le Seigneur, car son œuvre doit avancer. Si nous voulons que le Seigneur revienne bientôt, il nous faut traiter avec lui : « Père, nous voulons avancer avec toi. Il doit y avoir une tornade. » Je suis désolé de devoir dire cela, mais nous sommes trop habitués à nous reposer dans la tranquillité et le confort dans la vie de l’Eglise. « Comment allez-vous ? » « Très bien, très bien. » Je ne le crois pas entièrement : si tout va bien, pourquoi ne se passe-t-il rien ? Autrefois, frères et sœurs, nous avons travaillé jour et nuit, jusqu’à trois heures du matin. As-tu déjà travaillé pour le Seigneur jusqu’à trois heures du matin ? Et à six heures nous avions la veille du matin ! Et nous sommes toujours vivants et en bonne santé. Nous priions, notre cœur brûlait pour le Seigneur, nous voulions voir le témoignage de Dieu en Europe se déplacer.