Vendredi 07 mars

Lecture: Matthieu 2

Une mise en garde pour que nous n’abandonnions pas notre héritage

« Or, aussi longtemps que l’héritier est enfant, je dis qu’il ne diffère en rien d’un esclave, quoiqu’il soit le maître de tout » (Gal. 4 :1). Si dans cet âge, dans l’âge de l’Eglise, nous ne croissons pas dans la vie, que nous ne parvenons pas à maturité et que nous ne bâtissons pas l’Eglise, nous n’hériterons point quand le Seigneur reviendra, dans l’âge à venir du millénium. L’héritage de la Nouvelle Jérusalem est assuré pour tous les saints ; tous sont scellés et ont reçu le gage de l’Esprit. Une fois que quelqu’un a reçu le salut, il ne pourra plus jamais le perdre. Mais si dans cet âge, nous ne permettons pas à l’Esprit d’œuvrer en nous et de nous changer, nous pourrons perdre l’héritage dans le millénium, comme Esaü qui vendit son droit d’aînesse pour un plat de lentilles (Gen. 25 : 30-34 ; Héb. 12 :12-17), ou comme Ruben qui perdit sa double portion du bon pays (1 Chron. 5 :1).