Jeudi 10 décembre

Lecture: Luc 24

Chercher d’abord le royaume dans tout ce que nous faisons

Combien le royaume de Dieu est important ! Quand les disciples ont demandé au Seigneur Jésus de leur apprendre à prier, la première chose qu’il leur a montrée, c’est la gloire du Père : « Notre Père qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié » (Mat. 6:9). En premier lieu, nous devons en toutes choses rechercher ce qui glorifie le Père. Malheur à nous, si nous prenons pour nous la gloire qui appartient à Dieu ! Dans tout ce que nous faisons dans l’Eglise, nous devons toujours chercher ce que le Père veut. Ce que nous-mêmes souhaitons n’est pas si important. Beaucoup de choses – le travail, une carrière, avoir une famille, faire un tour du monde… - ne sont plus aussi importantes pour nous qu’elles ont pu l’être dans le passé. Plutôt que de voir tel ou tel endroit du monde, désirez plutôt voir le royaume de Dieu ! Que cherchez-vous premièrement ? Le Seigneur a dit : « Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu ! » (Mat. 6:33). Nous vivons dans un temps où il est parfaitement possible que nous voyions le retour du Seigneur ! En effet, cet âge ne peut plus durer tellement longtemps. Nous vivons certainement dans l’âge où le Seigneur va revenir. Quand nous considérons la statue de Daniel 2 et les nations qu’elle représente, quand nous réalisons que nous vivons à l’époque des pieds de la statue, nous prenons conscience que nous vivons vraiment à la fin de cet âge. Le Seigneur a dit aussi que son retour interviendrait dans un temps semblable à l’époque de Noé (Luc 17:26-27), et celle de Lot (v. 28-29). Ce qui nous entoure égale le péché de Sodome et de Gomorrhe, nous vivons vraiment dans un temps semblable à celui de Lot.

Quand nous nous rassemblons pour une conférence, nous ne cherchons pas un thème, nous voulons savoir ce que le Seigneur a dans son cœur ; nous voulons qu’il nous montre ce qu’il veut faire dans toutes les Eglises. Si nous considérons ce que le Seigneur nous a dit durant ces quelques dernières années, nous réalisons qu’il nous parle constamment de son retour.