Dimanche 30 octobre

Lecture : Romains 14 ; Ps. 142 :5-8

Dans cette époque de l'aboutissement du plan de Dieu, nous ressentons particulièrement la résistance de l'ennemi et du monde. Nous plaignons-nous au Seigneur, ou sommes-nous indifférents et nous résignons-nous à accepter les choses telles qu'elles sont? « Sois attentif à mes cris! Car je suis bien malheureux. Délivre-moi de ceux qui me poursuivent! Car ils sont plus forts que moi. Tire mon âme de sa prison, afin que je célèbre ton nom! Les justes viendront m'entourer, quand tu m'auras fait du bien » (v. 7-8).

Nous voyons que sur le chemin sur lequel nous voulons marcher avant que le Seigneur revienne, nous devons continuer à combattre et ne pas cesser de veiller. Certainement pas avec notre propre force, mais crions au Dieu vivant; il peut nous sauver et nous mener au but. J'espère que tous les saints apprendront à se plaindre devant Dieu! Alléluia pour la louange, mais aussi pour la plainte! Si vous vous contentez de louer le Seigneur et que vous ne vous plaignez pas devant le Seigneur, ce n'est pas suffisant. Je pratique ce que je vous dis là. C'est nécessaire, nous ne pouvons pas nous contenter d'une seule des deux expériences. Il ne suffit pas de louer le Seigneur ; il faut aussi se plaindre par rapport à l’œuvre de l’ennemi. Plus le fardeau du Seigneur vous imprègne, plus vous expérimentez devant chaque situation que vous n’avez pas d'autre choix que de crier au Dieu vivant: « Seigneur, nous ne sommes pas d'accord avec la situation! Ecoute notre cri! » Puisse le Seigneur nous enseigner aussi ce « maskil », cette instruction. Nous en avons aussi besoin aujourd'hui. Louez le Seigneur!