Lundi 24 avril

Lecture: Esaïe 24; Luc 2

Trois sortes d'offrandes différentes - chacun peut apporter une offrande selon sa mesure

Pour ce qui concerne l'holocauste, Dieu nous offre trois possibilités. Notre Dieu est si grand et plein de miséricorde! La première possibilité, c'est un bœuf (Lév.1:3-9). Si cela est trop grand, on peut aussi apporter une autre offrande: un agneau ou un chevreau (1:10-13).

Et si c'est encore trop difficile, alors amène une tourterelle (1:14-17). Chacun peut porter cela, même celui qui se sent si faible. Notre Dieu est si merveilleux! Peut-être quelqu'un a-t-il pensé, après le message précédent: « Oh, c'est tellement difficile de prendre Christ comme ma consécration envers Dieu. Je ne vais pas réussir à être agréable à Dieu ».

Dieu nous comprend. C'est pourquoi il va dire à un jeune croyant, à des frères ou des sœurs qui se sentent encore si faibles: « D'accord, un bœuf peut être trop grand pour toi. Alors, qu'en est-il d'apporter un agneau? » Quelqu’un va peut-être dire au Père: « Père, je ne peux pas non plus amener un agneau, je suis tellement pauvre, que dois-je faire? » Là encore, le Père va lui répondre: « Oui, je comprends. Alors, qu'en est-il d'une tourterelle? » Chacun peut apporter au moins une tourterelle.

Frères et sœurs, j'aimerais que nous soyons impressionnés par ce fait: Dieu fait tellement de chemin pour venir à notre rencontre. Il aimerait que tous, dans l'Eglise, lui soient agréables, y compris les frères et sœurs plus faibles et les personnes nouvellement venues à la foi. Le Seigneur se réjouit même d'une tourterelle ou d'un jeune pigeon.

Une tourterelle est si menue que chacun de nous peut en apporter une. Le Père s’en réjouira lorsque quelqu’un apporte une tourterelle. Mais j'espère aussi que notre appréciation de Christ aille en grandissant: de la tourterelle à la brebis, et de la brebis au bœuf. Personne ne doit penser qu'il doit commencer avec un taureau.

J'aimerais vous encourager à commencer dans les petites choses à saisir Christ comme votre holocauste afin d'être agréables à Dieu. Il n’est pas nécessaire que cela soit si grand. Nous n’apportons pas notre offrande pour les hommes, mais nous l’offrons à Dieu.