Les dix commandements nous montrent combien Dieu est saint et juste, combien il est merveilleux. Sa sainteté est aussi reliée à son amour. Si je n’aime pas Dieu, frères et sœurs, je n’ai aucun désir d’être saint. Il nous a donné des commandements saints parce qu’il nous aime ; et le premier, le plus grand commandement, c’est de l’aimer de toute notre âme, de toute notre force, de tout notre cœur. Non seulement cela, mais il y en a un second : « Et tu aimeras ton prochain (pas celui qui est éloigné, ce qui est facile) comme toi-même. » Qui est notre prochain ? Aimez-vous les saints dans l’Eglise où vous êtes ? Si nous n’avons plus cet amour, il ne restera plus personne dans l’Eglise, car qui n’a plus de problèmes ? Comment aimons-nous les saints ? Par l’amour du Seigneur, nous voulons aider tous les saints.
Mais si nous n’aimons pas notre Dieu, nous ne ressentons pas le besoin d’être saints ; si je ne l’aime pas, je ne vais pas garder ses commandements. Le Seigneur se révèle justement comme le Saint à l’Eglise à Philadelphie, qui signifie « l’amour fraternel ». Nous devons donc voir le Saint, celui qui aime l’Eglise. Il ne fera rien qui ne soit pas bon pour l’Eglise, qui endommagerait qui que ce soit. Ne faites rien dans l’Eglise qui cause des dommages à quelqu’un.
Le Seigneur est aussi le seul Véritable. La vérité est sa nature. Ce n’est pas une contrefaçon. Qui peut sur la terre produire quelque chose qui soit réellement céleste ? Qui de nous est d’en haut ? Qui peut nous apporter ce qui est céleste dans l’Eglise ? Il n’y en a qu’un Seul. Il n’y a qu’un seul Véritable qui vient d’en haut. Le vrai temple était dans cet homme qu’ils ont méprisé. Les pharisiens pensaient connaître les Ecritures, mais qui était la Parole ? La Parole vivante se tenait devant eux.