« Heureux l’homme qui craint l’Eternel,
qui trouve un grand plaisir à ses commandements …
Il ne craint point les mauvaises nouvelles ; son cœur est ferme, confiant en l’Eternel »
(Psaume 112 : 1, 7)
Le Psaume 111 se termine par la crainte de l’Eternel et le Psaume 112 commence par la crainte de l’Eternel ! Chaque jour doit se terminer dans la crainte respectueuse du Seigneur et chaque nouvelle journée doit commencer dans cette saine crainte. Cela nous préservera de beaucoup de péchés graves et nous permettra de collaborer avec le Seigneur pour l’accomplissement de son plan.
Celui qui craint l’Eternel n’est pas malheureux ! Au contraire, il expérimente la véritable joie : « Heureux l’homme qui craint l’Eternel … » (v. 1). Il trouve un grand plaisir à ses commandements. Nous louons le Seigneur, mais il ne s’agit pas d’une louange superficielle, celle-ci est pleine d’une crainte respectueuse pour le Seigneur et pour sa Parole. Il en découle une bénédiction pour sa postérité et la lumière se lève pour celui qui est « miséricordieux, compatissant et juste » (v. 4).
Celui qui craint l’Eternel, tout en exerçant la miséricorde « ne chancelle jamais » (v. 6). Il ne craint pas les mauvaises nouvelles ! Si nous ne mettons pas notre confiance dans le Seigneur, nous sommes encouragés par les bonnes nouvelles et découragés par les mauvaises nouvelles ! Elles nous font rapidement chanceler ! En revanche, si notre cœur reste ferme et confiant dans le Seigneur, nous savons que le Seigneur aura le dernier mot, la victoire finale ! Au lieu de baisser la tête en face des mauvaises nouvelles, « sa tête s’élève avec gloire » (v. 9) et le méchant ne peut que s’irriter jusqu’à ce qu’il périsse (v. 10) !