« Un homme qui mérite d’être repris, et qui raidit le cou, sera brisé subitement et sans remède » (v. 1). Quand le Seigneur nous reprend, humilions-nous sous sa main puissante, car il cherche notre bien. Si, au contraire, nous endurcissons notre cœur, le jugement du Seigneur finira par se manifester et ce sera trop tard pour se repentir.
« Un homme qui flatte son prochain tend un filet sous ses pas » (v. 5). La flatterie réveille l’orgueil. En revanche, Dieu nous humilie pour notre bien.
« Si un homme sage conteste avec un insensé, il aura beau se fâcher ou rire, la paix n’aura pas lieu » (v. 9). Lorsque le cœur de quelqu’un est endurci, rien ne peut le changer, ni la dureté ni la gentillesse – et la paix n’est pas manifestée !
« Le pauvre et l’oppresseur se rencontrent ; c’est l’Eternel qui éclaire les yeux de l’un et de l’autre » (v. 13). Sans l’intervention du Seigneur, nous ne pouvons pas saisir sa pensée. Un peuple sans révélation est un peuple sans frein (v. 18). Toutefois, la révélation ne suffit pas ; souvent le châtiment du Seigneur est nécessaire pour que nous apprenions l’obéissance (v. 19).
« Si tu vois un homme irréfléchi dans ses paroles, il y a plus à espérer d’un insensé que de lui » (v. 20). Notre langue doit être tenue en bride, sinon elle cause des dégâts considérables.
« La crainte des hommes tend un piège, mais celui qui se confie en l’Eternel est protégé » (v. 25). Si nous voulons plaire aux hommes, nous ne pouvons pas être serviteurs du Seigneur (Gal. 1 :10) ; en revanche, chercher à plaire au Seigneur et se confier en lui est une grande protection.