Vendredi 08 avril

Lecture: 1 Thessaloniciens 4

L’homme déchu et la grande miséricorde de Dieu

6. Eternel ! souviens-toi de ta miséricorde et de ta bonté ; car elles sont éternelles.

Nous sommes tous des êtres charnels et déchus, qui ont déjà commis beaucoup d’erreurs. David n’écrit pas ces versets sur un ton professoral, mais en étant profondément conscient de ses fautes, de ses transgressions et de ses iniquités. Plus nous allons de l’avant avec le Seigneur, en reconnaissant notre état, plus nous serons humbles et plus nous nous réjouirons de sa miséricorde. Celui qui reconnaît son péché aime beaucoup le Seigneur (Luc 7 :47-48).

7. Ne te souviens pas des fautes de ma jeunesse ni de mes transgressions(ou: rébellion ; souviens-toi de moi selon ta miséricorde, à cause de ta bonté, ô Eternel !

Ce verset est très important : le sang de l’Agneau nous purifie de tout péché, et Dieu ne se souvient plus de nos péchés. Notre part est de confesser nos péchés au Seigneur et de nous repentir devant lui. Aussitôt que quelque chose monte en nous, dont nous ignorions l’existence ou que nous avions oublié, confesse-le-lui : « Seigneur, je me repens, pardonne tous mes péchés et iniquités du passé. Ne te souviens pas des fautes de ma jeunesse. » Si tu pries ainsi, tu dois aussi croire que le Seigneur t’a pardonné tous les péchés que tu as commis.

Mais le Seigneur dit aussi que désormais, nous ne devons plus pécher. Le pardon est merveilleux, mais il désire que nous progressions. Il nous faut absolument un tel pardon et une telle confiance.