Lundi 21 novembre

Lecture: 2 Corinthiens 4

De brèves souffrances et la mort
mènent à une joie éternelle et à la gloire

6. Car sa colère dure un instant, mais sa grâce toute la vie ; le soir arrivent les pleurs, et le matin l’allégresse (ou : un chant de joie).

Dieu n’est pas seulement amour, mais il existe aussi une colère de Dieu. Or celle-ci ne dure qu’un instant, alors que sa grâce dure toute la vie. Parfois nous commettons des fautes, et Dieu doit nous discipliner. Quand nous sommes alors dans les souffrances, celles-ci ne sont que de courte durée en comparaison de la grande joie et de la gloire que nous gagnons à travers elles.

Comment éduquons-nous nos enfants ? Notre sévérité ne subsiste qu’un instant, n’est-ce pas ? Mais notre amour envers nos enfants durera jusqu’à la fin de notre vie ! Ainsi en est-il avec notre Père céleste. Paul dit : « Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers : héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d’être glorifiés avec lui. J’estime que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous » (Rom. 8:17-18).

L’édification de l’Eglise n’est pas possible sans souffrances, mais à la fin, il y aura toujours de l’allégresse. Voilà pourquoi le verset 6 mentionne d’abord le soir avec ses pleurs, puis le matin avec un chant de joie et d’allégresse. Dans le monde, le jour commence le matin : ils sont joyeux aujourd’hui, mais ensuite ils pleureront. Avec Dieu, le jour commence le soir et se termine au matin : nous pleurons aujourd’hui, mais ensuite nous chanterons et pousserons des cris de joie ! Comment voulons-nous commencer la journée, et comment voulons-nous la terminer ? Apprenons donc à compter les jours comme Dieu les compte.