« O Dieu! je te chanterai un cantique nouveau, je te célébrerai sur le luth à dix cordes. Toi, qui donnes le salut aux rois, qui sauvas du glaive meurtrier David, ton serviteur, délivre-moi et sauve-moi de la main des fils de l'étranger, dont la bouche profère la fausseté, et dont la droite est une droite mensongère!... » (v. 9-10). Le Seigneur va nous sauver parfaitement, jusqu'à la fin!
Puis vient une merveilleuse bénédiction du peuple qui connaît le Dieu vivant: « Nos fils sont comme des plantes qui croissent dans leur jeunesse; nos filles comme les colonnes sculptées qui font l'ornement des palais » (v. 12). La Parole ne dit pas qu'il faut encore attendre, mais qu'ils doivent être forts durant le temps de leur jeunesse, forts comme des colonnes sculptées, comme des plantes qui croissent. Ces colonnes-là ne sont pas simplement utiles, elles servent à la beauté du bâtiment, pas seulement à le soutenir. Les sœurs doivent être ornées de l'Esprit, d'une merveilleuse beauté de l'Esprit, comme l'a aussi dit Pierre (1 Pie. 3:1-4).
« Nos greniers sont pleins, regorgeant de toute espèce de provisions; nos troupeaux se multiplient par milliers, par dix milliers, dans nos campagnes. Nos génisses sont fécondes; point de désastre, point de captivité, point de cris dans nos rues! » (v. 13-14). N'est-ce pas merveilleux si personne ne se plaint dans l'Eglise? Jouir d’une telle paix et de sa joie, n'est-ce pas merveilleux? Il est vraiment bon d'être à Sion. « Heureux le peuple pour qui il en est ainsi! Heureux le peuple dont l'Eternel est le Dieu! » (v. 15). Nous devons déjà avoir un avant-goût de cela dans la vie de l'Eglise aujourd'hui, une telle harmonie parmi tous les saints.