Si nous ne rejetons pas notre vieil homme, nous ne pouvons pas revêtir le nouvel homme. Si quelqu'un n'a pas appris à se dépouiller du vieil homme, il n'est pas capable de revêtir le nouvel homme. Que faisons-nous, si nous voulons mettre des habits propres ? Nous ôtons d’abord les habits sales ! C'est aussi simple que cela : ôtons notre vieil habit, rejetons notre vieil homme. Le nouvel homme a de nouvelles habitudes, un nouveau caractère, de nouvelles manières d'agir. Mais si nous n'apprenons pas à nous dépouiller du vieil homme, nous serons juste un assemblage de « vieux hommes » en train de parler du nouvel homme. Pensons-nous que l'Eglise peut être bâtie ainsi ? C'est impossible ! Si nous ne nous dépouillons pas du vieil homme, nous pouvons parler tant que nous voulons du nouvel homme, l'Eglise ne sera pas bâtie pour autant. Paul montre que dans ce nouvel homme, il n'y a pas de place pour le vieil homme: « Il n'y a ici ni Grec ni Juif, ni circoncis ni incirconcis, ni barbare ni Scythe, ni esclave ni libre; mais Christ est tout et en tous » (Col. 3:11).