Mardi 29 octobre

Lecture: Proverbes 18 ; 2 Thessaloniciens 1

« Celui qui se tient à l’écart cherche ce qui lui plaît,
il s’irrite contre tout ce qui est sage »
(Proverbes 18 :1)

Si on se tient à l’écart, c’est qu’on n’aime pas être corrigé par la Parole de Dieu ; c’est une preuve d’orgueil. Une telle personne ne cherche que ce qui lui plaît, n’a pas l’expérience de la croix, s’irrite contre toute parole de sagesse venant d’autres membres du Corps, se tient en retrait dans l’Eglise et finit souvent par s’en séparer !

« Les paroles du rapporteur sont comme des friandises, elles descendent jusqu’au fond des entrailles » (v. 8). L’homme naturel se délecte des calomnies. Si on se relâche et qu’on a une oreille pour les médisances, en fin de compte, on va détruire l’œuvre de Dieu (v. 9). En revanche, si on se réfugie dans le nom de l’Eternel, on se trouvera en sûreté dans une tour forte (v. 10). Le problème fondamental, c’est l’orgueil, le cœur de l’homme qui s’élève ! Le chemin du salut, c’est l’humilité qui conduit à la gloire (v. 12).

« Celui qui répond avant d’avoir écouté fait un acte de folie et s’attire la confusion » (v. 13). Si chacun fait l’effort d’écouter l’autre avant de répondre, la communion entre frères et sœurs s’améliorera !

« Un frère offensé est plus difficile à gagner qu’une ville forte, et les querelles sont comme les verrous d’un palais » (v. 19, Darby). C’est pourquoi, il ne faut pas laisser le soleil se coucher sur notre colère ni des racines d’amertume pousser dans notre cœur. Sinon, il sera presque impossible de faire sauter les verrous !

Les paroles ont un effet soit bénéfique, soit mauvais et cet effet est immense : la vie ou la mort (v. 21).