Le sage ne réagit pas impulsivement. De plus, il est conscient que lui aussi a déjà commis bien des fautes dans sa vie. Donc il est à lent à la colère. Il sait que Dieu pardonne et oublie ses fautes (Héb. 8 :12), ce qui lui permet de mettre sa gloire à oublier les offenses de son prochain !
« Les querelles d’une femme sont une gouttière sans fin … mais une femme intelligente est un don de l’Eternel » (v. 13-14). Celui qui a une femme vertueuse doit en être profondément reconnaissant à Dieu. De même l’épouse qui peut dire de son mari que ce qui fait son charme, c’est sa bonté (v. 22), doit aussi être reconnaissante à Dieu !
Dans tous les cas, même si notre situation n’est pas idéale, « la crainte de l’Eternel mène à la vie, et l’on passe la nuit, sans être visité par le malheur » (v. 23). Dieu fait concourir toutes les situations à notre bien, si nous l’aimons d’une crainte respectueuse et si nous vivons pour son plan. Mais pour cela, nous ne devons pas être comme le paresseux qui « plonge sa main dans le plat et ne la ramène pas à sa bouche » (v. 24). Ne nous bornons pas à lire la Parole, mais mêlons la prière à la Parole afin qu’elle pénètre en nous et nous nourrisse ! C’est ainsi que la Parole nous reprendra pour nous rendre plus sages (v. 25) et nous préservera d’être châtiés avec les insensés (v. 29).