Éditions «Le Fleuve de vie»
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Lundi 11 novembre

Lecture: Esaïe 22; 1 Timothée 6


Dans toutes les prières des Psaumes, il y a d'un côté beaucoup de choses positives à apprendre, mais d'un autre côté, les psalmistes n'ont jamais cessé de crier au Dieu vivant. Il semble que ce soit le seul chemin pour expérimenter le salut. Notre seul chemin est le Dieu vivant. Dans les Psaumes 141 et 142, on voit que même si le psalmiste expérimente le royaume, il doit continuer à crier au Dieu vivant. L'ennemi ne va jamais cesser de trouver de nouvelles ruses. Nous le voyons dans la vie du Seigneur: de sa naissance jusqu'à la croix, l'ennemi n'a jamais cessé d'être à l'œuvre. Nous ne devons pas cesser de veiller, car l'ennemi ne va jamais interrompre son travail, peu importe à quel degré de maturité nous sommes parvenus. « Comme quand on laboure et qu'on fend la terre, ainsi nos os sont dispersés à l'entrée du séjour des morts » (Ps. 141:7). Est-ce possible que le psalmiste puisse avoir à ce stade le sentiment que des os sont dispersés à l'entrée du séjour des morts? Comment est-ce possible? Parce que nous vivons encore dans notre « tente » et que la chair continue à nous accompagner. Paul disait que tant qu'il vivait dans cette tente, il était comme absent du Seigneur (2 Cor. 5:2-8). Il soupirait et attendait, comme toute la création, le salut final, la transformation de notre corps en un corps de gloire (Phil. 3:21).

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