Nous connaissons la fin: une main vient écrire sur le mur des mots. Quand Dieu dresse ainsi le doigt, ce n'est pas une bonne chose. Nous devons vraiment apprendre à traiter la Parole de Dieu avec respect, avec crainte et tremblement et rendre gloire à Dieu. Ne traitons pas la Parole de telle manière que nous puissions dire à son sujet ce que nous voulons et raconter ce qui nous passe par la tête dans un témoignage. La Parole de Dieu est une affaire sérieuse. Quand Nebucadnetsar a emporté les ustensiles du temple, il les a mis à l'abri; il n'a pas osé en faire un usage quelconque, mais son arrière-petit-fils a eu la témérité de les employer à un usage vil.
A Babylone, on se permet tout. Même Belschatsar a vu son jugement s’inscrire sur le mur; ne soyons donc pas aveugles. On ne peut pas pratiquer de tels mélanges. Sinon, nous sommes vraiment à Babylone, ou pire encore, sous le règne de Belschatsar. Ce serait un drame si notre deuxième génération terminait sa course à Babylone! Quelle responsabilité nous portons! A quoi leur sert d'avoir lu ce chapitre et de ne rien en apprendre? Puisse la nouvelle génération expérimenter plus richement encore le Seigneur, car ses richesses sont inépuisables! Nous devons voir un accroissement de génération en génération, et non une dégradation.