Mercredi 05 octobre

Lecture: Ezéchiel 25; Hébreux 8

Le fleuve d’eau de la vie et l’arbre de la vie

« Et il me montra un fleuve d'eau de la vie, limpide comme du cristal, qui sortait du trône de Dieu et de l'Agneau. Au milieu de la place de la ville (ou : de sa rue) et sur les deux bords du fleuve, il y avait un arbre de vie, produisant douze fois des fruits, rendant son fruit chaque mois, et dont les feuilles servaient à la guérison des nations » (Apoc. 22:1-2 ; Darby). Cette ville sera obtenue par l'arbre de la vie et le fleuve d'eau de vie.

Un seul chemin étroit

La ville n'a qu'une rue, et dans sa traduction, Luther a utilisé le mot « ruelle », ce qui est tout à fait approprié, car la Parole ne connaît que le chemin étroit. La rue dans la Nouvelle Jérusalem ne doit pas être très large. Là, nous serons tous dans la même rue, et personne ne se perdra ! Elle nous conduit au sommet, sur la montagne, vers le trône ; au milieu d’elle coule le fleuve et de chaque côté grandit l'arbre de la vie.

Grâce à l'approvisionnement quotidien de l'eau de la vie et de l'arbre de la vie, nous serons tous fortifiés pour marcher en Dieu selon la nature divine, dans sa lumière. Le chemin conduit toujours plus haut, afin que nous « croissions à tous égards en celui qui est le chef, Christ » (Eph. 4:15). Plus nous allons de l'avant dans la vie de l'Eglise, plus nous nous approchons du trône et plus nous sommes sous son autorité, jusqu'à ce que finalement nous puissions nous asseoir avec lui sur son trône, comme il nous l'a promis (Apoc. 3:21). Apprenons dans la vie de l'Eglise, à marcher dans cette rue, car c'est l'unique chemin. Nous sommes non seulement un seul esprit mais aussi un seul cœur, une seule âme et marchons sur les mêmes traces (2 Cor. 12 :18).