Mardi 04 septembre

Lecture: 2 Jean

La gloire de Dieu est comme une gerbe de feu

« Je regardai, et voici, il vint du septentrion un vent impétueux, une grosse nuée, et une gerbe de feu, qui répandait de tous côtés une lumière éclatante, au centre de laquelle brillait comme de l'airain poli, sortant du milieu du feu » (Ez. 1:4). La grande nuée dans Ezéchiel 1:4 montre la présence du Seigneur au milieu de son peuple. Sa présence est très importante. Il faut que le Seigneur soit réellement au milieu de nous. Il nous faut expérimenter cette nuée.

Pour cela, la sainteté est importante ; c’est ce dont nous parle le feu dans la vision d’Ezéchiel. La vie de l’Eglise n’est pas possible sans la sainteté. Ne dites pas : « Nous n’avons que la vie ; et si la vie grandit, les jeunes frères et sœurs deviendront automatiquement saints. » Non, la Parole ne dit pas cela. Elle dit au contraire : « Recherchez la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur » (Héb. 12:14). Si les jeunes dans l’Eglise vivent comme les jeunes dans le monde, croyez-vous que nous ayons le droit de dire : « C’est la maison du Seigneur » ? Non, nous ne pouvons pas dire cela. L’Eglise doit être entièrement différente du monde, en particulier les jeunes. Jean a écrit aux jeunes : « Je vous écris jeunes gens, parce que vous êtes forts,… et parce que vous avez vaincu le malin » (1 Jean 2:14) et non : « Je vous écris parce que vous devez encore grandir. » Pensez-vous que les jeunes soient forts ? Est-ce que ce ne sont pas les plus âgés qui sont plus forts ? Les jeunes doivent être forts. Te reconnais-tu dans ce verset ? Tu dois répondre Amen ! Sinon, vous pouvez citer la Parole, mais vous ne croyez pas que ce qu’elle dit est possible. Il faut que la Parole demeure richement en vous. Il est nécessaire que vous vainquiez le monde et meniez une vie sainte, comme Joseph en Egypte. Cela devrait être la condition du peuple de Dieu. Si les jeunes dans l’Eglise sont comme les jeunes dans le monde, nous avons vraiment fait faillite. Est-ce une gloire pour le Seigneur ? Au contraire, c’est une honte.