Mardi 04 février

Lecture: Proverbes 2

Dieu est lumière

Le Dieu qui est notre possession, notre héritage, est lumière, et il n’y a point en lui de ténèbres (1 Jean 1 :5). C’est pourquoi nous ne devons avoir aucune communion avec les ténèbres. Celui qui néglige la Parole de Dieu et qui s’ouvre aux ténèbres, celui-là ne doit pas s’étonner de finir lui-même dans les ténèbres, et il ne pourra pas en mettre la faute sur les autres. En Dieu, il n’y a point de ténèbres.

« Si nous disons que nous sommes en communion avec lui, et que nous marchions dans les ténèbres, nous mentons, et nous ne pratiquons pas la vérité » (1 Jean 1 :6). Surtout les jeunes doivent apprendre à n’avoir aucune communion avec les œuvres des ténèbres, mais plutôt à marcher dans la lumière, car Dieu est lumière. D’un autre côté, Dieu est aussi amour, et dans la Bible, l’amour et la lumière vont toujours de pair. Jean, dans sa sagesse et par l’onction, a parlé premièrement de Dieu en tant que lumière. La lumière n’est pas toujours agréable, mais elle est nécessaire et vient la première. Ensuite vient l’amour.

Dieu dans le livre de l’Apocalypse

Tout à la fin de la Bible, dans le livre de l’Apocalypse, le même Dieu qu’au commencement nous est à nouveau présenté : Yahvé, celui qui est, qui était et qui vient, l’Eternel, le commencement et la fin, l’Alpha et l’Oméga (Apoc. 22 :13). Il est le Fidèle, qui a non seulement tout créé, mais aussi tout accompli (Apoc. 21 :6). Tout ce qu’il avait planifié avant la fondation du monde, nous le voyons accompli dans le livre de l’Apocalypse. Les promesses de son alliance à l’égard d’Abraham et à notre égard, nous les voyons accomplies. Le signe de l’alliance qu’il a conclue avec Noé, l’arc-en-ciel, nous le retrouvons dans le livre de l’Apocalypse, autour du trône (Apoc. 4 :3). Il est le Fidèle, qui garde son alliance. Personne, pas même Satan et toute la puissance des ténèbres, ne pourra l’empêcher d’exécuter tout ce qu’il s’est proposé de faire.

Dorénavant et jusqu’au retour du Seigneur Jésus-Christ, il nous faut expérimenter notre Dieu richement. Nous voulons développer cette habitude, lorsqu’il arrive quelque chose dans notre vie personnelle ou dans l’Eglise, d’aller premièrement vers notre Dieu, quelle que soit la situation.