Lundi 31 juillet

Lecture: Lamentations 4 ; 1 Corinthiens 11

La porte qui nous donne accès au temple saint de Dieu est un merveilleux endroit, comme Elim ! Venez donc passer du temps dans cette merveilleuse porte ! N’ayez pas peur, car nous trouvons là le salut. Le Seigneur nous expose et nous juge afin de nous sauver. C’est pourquoi les chambres des gardiens sont entourées de merveilleux palmiers. N’est-ce pas un endroit magnifique ?

Les colonnes sur lesquelles sont sculptés les palmiers montrent à quel point l’œuvre du Seigneur est solide et permanente. Son salut est éternel ; non seulement vous ne perdrez pas votre salut, mais vous serez de plus en plus sauvés ! Plus vous pénétrerez dans cette porte, plus vous expérimenterez le salut complet de Dieu.

Dans Apocalypse 7, nous voyons aussi des palmes qui accompagnent les louanges célébrant la victoire du Seigneur : « Après cela, je regardai, et voici, il y avait une grande foule, que personne ne pouvait compter, de toute nation, de toute tribu, de tout peuple, et de toute langue. Ils se tenaient devant le trône et devant l’Agneau, revêtus de robes blanches, et des palmes dans leurs mains. Et ils criaient d’une voix forte, en disant : Le salut est à notre Dieu qui est assis sur le trône, et à l’Agneau. Et tous les anges se tenaient autour du trône, des vieillards et des quatre êtres vivants, ils se prosternèrent sur leur face devant le trône, et ils adorèrent Dieu, en disant : Amen ! La louange, la gloire, la sagesse, l’action de grâces, l’honneur, la puissance, et la force, soient à notre Dieu, aux siècles des siècles ! Amen ! » (Apoc. 7:9-12) Sa vie n’est pas seulement glorieuse et puissante, mais victorieuse ! Le Seigneur peut nous sauver parfaitement, il est merveilleux.

Mais nous n’expérimentons pas un tel salut d’un seul coup. C’est pourquoi Romains 5 parle du fait que nous « serons sauvés par sa vie » (v. 10), au futur. Paul a aussi dit dans Philippiens : « Ce n’est pas que j’aie déjà remporté le prix, ou que j’aie déjà atteint la perfection » (Phil. 3:12). Nous ne voulons pas rester sur le seuil extérieur, nous voulons avancer jusqu’au seuil intérieur, traverser le vestibule pour entrer finalement dans le parvis extérieur.