Dimanche 01 novembre

Lecture: Marc 1

Psaume 23
Christ, le bon Berger et le souverain Berger du troupeau

Dans le Psaume 22, nous trouvons une description des souffrances et de la mort du Seigneur. Il avait dit lui-même: "Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis" (Jean 15:13), et "Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis" (Jean 10:11). Il est venu vers les hommes comme ce Berger et il a accepté la mort par amour pour nous. Aussi, est-il très précieux qu’après les souffrances, la mort et la résurrection, le Psaume 22 soit suivi par la description du Berger dans le Psaume 23.

Dans Hébreux 13:20, nous lisons que le Dieu de paix a ramené d’entre les morts le grand Berger des brebis, par le sang d’une alliance éternelle, notre Seigneur Jésus. Après avoir donné sa vie comme homme pour nous, pécheurs, et après avoir accompli la rédemption (Héb. 2:17-18; 5:5-10; 7:26), le Seigneur Jésus est maintenant pour nous le grand Souverain Sacrificateur dans la maison du Seigneur, et en même temps notre grand Berger. C’est aujourd’hui le principal ministère du Seigneur à notre égard, car rien n’est plus nécessaire aux brebis que leur Berger qui les paît. Le Seigneur est notre souverain Berger et nous sommes ses brebis. Il est le meilleur Berger, car il a donné sa vie pour nous. Personne n’a plus d’amour que notre Seigneur qui a livré sa vie.

Le Seigneur est non seulement le Berger, mais encore le Gardien de notre âme. Pierre a dit: "Car vous étiez comme des brebis errantes. Mais maintenant vous êtes retournés vers le berger et le gardien de vos âmes" (1 Pie. 2:25). Et dans Actes 20:28-29, Paul exhorte les anciens à Ephèse: "Prenez donc garde à vous-mêmes, et à tout le troupeau sur lequel le Saint-Esprit vous a établis évêques, pour paître l’Eglise de Dieu, qu’il s’est acquise par son propre sang. Je sais qu’il s’introduira parmi vous, après mon départ, des loups cruels qui n’épargneront pas le troupeau."

Le Seigneur avait déjà dit la même chose dans Jean 10: "Mais le mercenaire, qui n’est pas le berger, et à qui n’appartiennent pas les brebis, voit venir le loup, abandonne les brebis, et prend la fuite; et le loup les ravit et les disperse. Le mercenaire s’enfuit, parce qu’il est mercenaire, et qu’il ne se met point en peine des brebis. Je suis le bon berger. Je connais mes brebis, et elles me connaissent" (v. 12-14).