Lundi 28 octobre

Lecture: Proverbes 17 ; 1 Thessaloniciens 5

« Mieux vaut un morceau de pain sec, avec la paix,
qu’une maison pleine de viandes, avec des querelles »
(Proverbes 17 :1)

Nous devons rechercher ce qui contribue à la paix et à l’édification mutuelle (Rom. 13 :19 ; Col. 3 :15). La paix vaut mieux « qu’une maison pleine de viandes » (Prov. 17 :1). Pour avoir la véritable paix dans l’Eglise, Dieu doit éprouver nos cœurs dans le creuset pour ôter tous les éléments étrangers à l’argent et l’or (v. 3). La langue pernicieuse trouble la paix, mais le problème ne vient pas seulement de la langue pernicieuse, mais de celui qui prête l’oreille pour l’écouter ! « Le méchant est attentif à la lèvre inique » (v. 4).

« Celui qui couvre une faute cherche l’amour, et celui qui la rappelle dans ses discours divise les amis » (v. 9). On peut soit couvrir une faute en se basant sur la miséricorde et l’amour du Seigneur, soit rappeler cette faute dans des discussions et ainsi diviser les croyants. Quel est l’effet de nos paroles ? Les liens entre les frères et sœurs sont-ils fortifiés ou nos paroles produisent-elles l’éloignement puis la séparation entre les frères et sœurs ?

Si nous sommes intelligents, nous n’allons pas nous rebiffer contre une réprimande et essayer de nous justifier, mais nous allons l’accepter afin de devenir plus sages (v. 10).

« Commencer une querelle, c’est ouvrir une digue ; avant que la dispute s’anime, retire-toi » (v. 14). Une petite querelle s’envenime facilement et peut avoir des conséquences dramatiques ! Il faut veiller à se retirer dès qu’on voit une dispute s’animer ! « Un cœur joyeux est un bon remède » (v. 22). Cela est valable pour toutes les situations malades ! Réjouissons-nous toujours dans le Seigneur, même si les situations que nous traversons sont difficiles (Phil. 4 :4).