Notre Dieu est un Dieu qui se cache (Es. 45 :15), toutefois, ses perfections invisibles se voient comme à l’œil nu quand on les considère dans ses ouvrages (Rom. 1 :20). Dieu désire qu’on sonde sa Parole afin de découvrir les choses cachées qu’aucun des sages de ce siècle n’a connues, mais qui sont révélées par l’Esprit à ceux qui l’aiment (1 Cor. 2 :7-10).
« Ote de l’argent les scories » (v. 4). La révélation de l’Esprit est nécessaire, mais cela ne suffit pas, nous avons encore besoin de passer « au creuset des épreuves » dans notre vie journalière pour que les scories se détachent de l’argent !
Dans nos relations les uns avec les autres, il est important d’être lents à la colère et de faire preuve de douceur (v. 15) ; toutefois si nous trouvons du miel, il nous est dit : « n’en mange que ce qui te suffit, de peur que… tu ne le vomisses » (v. 16).
« Comme de l’eau fraîche pour une personne fatiguée, ainsi est une bonne nouvelle venant d’une terre lointaine » (v. 25). Lorsque nous lisons la Parole de Dieu avec un cœur ouvert, nous recevons « de bonnes nouvelles », des versets qui nous encouragent et nous pouvons les partager à d’autres frères et sœurs. L’effet est semblable à un verre d’eau pour une personne fatiguée.
« Comme une ville forcée et sans murailles, ainsi est l’homme qui n’est pas maître de lui-même » (v. 28). L’ennemi est continuellement à l’affût, cherchant à pénétrer dans notre vie et dans l’Eglise. Si nous ne gardons pas nos pensées et en particulier notre langue sous le contrôle de l’Esprit, nous sommes comme une ville sans murailles et l’ennemi peut causer beaucoup de dégâts dans l’Eglise.