Lundi 22 octobre

Lecture: Psaume 24

Le bruit des ailes des quatre êtres vivants :
le bruit de grosses eaux

A quoi ressemble le bruit des ailes ? « J'entendis le bruit de leurs ailes, quand ils marchaient, pareil au bruit de grosses eaux, ou à la voix du Tout-Puissant; c'était un bruit tumultueux, comme celui d'une armée; quand ils s'arrêtaient, ils laissaient tomber leurs ailes » (v. 24). Qui a une voix comme le bruit de grosses eaux ? C’est la voix du Tout-Puissant ! Ainsi, quand les quatre êtres vivants se déplacent, on entend la voix de Dieu. Cela signifie que leur marche n’est pas seulement un ordre du Seigneur ; mais là où ils vont, ils portent aussi la parole du Seigneur, leur déplacement est entièrement un avec la parole et l’ordre du Tout-Puissant. Ne va nulle part sans la parole du Seigneur, reste plutôt à la maison. Si tu vas à Toronto, vas-y avec la voix du Tout-Puissant. C’est un exercice. Je dois vous témoigner ceci : partout où je me rends, je veux y aller avec la voix du Tout-Puissant. Sinon, qu’est-ce que je vais faire là où je me rends ? Si je viens à Stuttgart, que vais-je y faire ? Vous raconter une histoire ? Si tu ne vas pas avec la voix du Tout-Puissant, ne va nulle part, reste où tu es. Les quatre êtres vivants, la gloire du Seigneur, est là pour l’œuvre de Dieu. Si c’est la voix du Tout-Puissant qui t’amène quelque part, alors c’est une bonne raison de t’y rendre ! Comprenez-vous ? Voyez-vous cette merveilleuse vision ?

Le bruit des ailes des quatre êtres vivants:
le bruit d’une armée

« C’était un bruit tumultueux, comme le bruit d’une armée », et non pas le bruit d’une belle musique ! Quand vous vous déplacez, c’est pour combattre pour le Seigneur. Partout où va la gloire, c’est pour reconquérir un peu plus de terrain. Je n’ai aucune intention de me rendre quelque part pour donner quelques beaux messages, avoir un peu de communion, puis rentrer à la maison et que rien ne se passe ! Un peu de belle communion ne produit rien. Peu importe où nous allons, nous devons gagner du terrain pour le Seigneur, pas pour y passer du bon temps.

Souvent nous posons la question, lorsque nous nous rendons en visite dans une Eglise : « Comment allez-vous ? Comment s’est passée la conférence ? » A quoi sert ma visite ou ta visite si rien ne se passe ? Nous avons une belle communion, mais tu ne fais pas peur à l’ennemi. Au contraire, tu l’aides encore… Le déplacement des quatre êtres vivants doit être dangereux pour l’ennemi. A quoi sert une belle conférence si rien ne se passe, si nous sommes exactement les mêmes quand nous rentrons à la maison ? Il faut que nous voyions tous cette vision, afin que le Seigneur puisse se déplacer ainsi dans l’Eglise aujourd’hui.